Le candidat UMP a promis de « faire aussi la rupture » dans le domaine de la viticulture. Venu rencontrer des producteurs de vins à la mairie de Châteauneuf-du-Pape, haut lieu de la viticulture, Nicolas Sarkozy a affirmé qu’il voulait « redonner de la compétitivité aux viticulteurs français ». Y compris par un assouplissement de la loi Evin.(Source site Internet RTL) Entre une rencontre avec les viticulteurs de Châteauneuf-du-Pape et un meeting sur la place de la ville, Nicolas Sarkozy n’a même pas pris le temps de déguster les vins du pays. Il a pris le temps en revanche d’écouter les doléances des vignerons professionnels. Et sur un point, celui de la publicité sur le vin, il a promis de changer les choses. « Interdire la publicité sur le vin, qui est un produit du terroir, dont chacun sait qu’une consommation modérée peut être positive pour la santé, c’est assimiler le vin à une drogue qu’on voudrait prohiber. Je suis donc opposé à toute forme de prohibition », explique-t-il. « La réouverture du débat sur les conditions dans lesquelles on peut faire une publicité sur une production du terroir, j’y suis favorable ». Un positionnement qui n’est pas nouveau de la part du ministre de l’Intérieur et qui supposerait une refonte de la loi Evin. Par ailleurs, le candidat de l’UMP s’est opposé à toute politique d’arrachage des vignes, idée défendue par la Commission européenne pour lutter contre la surproduction viticole. « C’est une absurdité », a-t-il lancé. « L’arrachage, c’est la désertification ».
Le candidat UMP a promis de « faire aussi la rupture » dans le domaine de la viticulture. Venu rencontrer des producteurs de vins à la mairie de Châteauneuf-du-Pape, haut lieu de la viticulture, Nicolas Sarkozy a affirmé qu’il voulait « redonner de la compétitivité aux viticulteurs français ». Y compris par un assouplissement de la loi Evin.(Source site Internet RTL) Entre une rencontre avec les viticulteurs de Châteauneuf-du-Pape et un meeting sur la place de la ville, Nicolas Sarkozy n’a même pas pris le temps de déguster les vins du pays. Il a pris le temps en revanche d’écouter les doléances des vignerons professionnels. Et sur un point, celui de la publicité sur le vin, il a promis de changer les choses. « Interdire la publicité sur le vin, qui est un produit du terroir, dont chacun sait qu’une consommation modérée peut être positive pour la santé, c’est assimiler le vin à une drogue qu’on voudrait prohiber. Je suis donc opposé à toute forme de prohibition », explique-t-il. « La réouverture du débat sur les conditions dans lesquelles on peut faire une publicité sur une production du terroir, j’y suis favorable ». Un positionnement qui n’est pas nouveau de la part du ministre de l’Intérieur et qui supposerait une refonte de la loi Evin. Par ailleurs, le candidat de l’UMP s’est opposé à toute politique d’arrachage des vignes, idée défendue par la Commission européenne pour lutter contre la surproduction viticole. « C’est une absurdité », a-t-il lancé. « L’arrachage, c’est la désertification ».
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