La Liste de Christelle MORANCAIS

Comme vous pourrez le voir sur cliquant ici je suis candidat en Loire-Atlantique sur la liste de Christelle MORANCAIS. Je suis heureux et fier d’être aux côtés de Christelle MORANCAIS pour porter les valeurs que j’ai toujours défendues au cours de ma carrière et aussi bien évidemment pour porter les couleurs de VERTOU à la Région des Pays de la Loire.

La liste d’union de la droite et du centre en Loire Atlantique

Site de Christelle MORANCAIS

Partager :

Christelle MORANCAIS candidate

Oui je suis candidate, mais je suis d’abord une présidente face à la crise, et je le resterai jusqu’à la dernière minute de ce mandat. Je me présente avec détermination, sérénité et surtout humilité. Je suis candidate comme je suis présidente : par amour pour cette belle région que je sillonne du matin au soir et parce que je veux me battre, mobiliser notre collectif, pour que les Pays de la Loire sortent par le haut de cette crise sans précédent. Avant l’épidémie, tous nos voyants étaient au vert (taux de chômage, taux de pauvreté, créations d’entreprises). Nous allons regagner tous les podiums, accélérer et retrouver la force de notre région. Nous allons défendre une région où il fait bon vivre, travailler, éduquer ses enfants, vieillir paisiblement. Nous allons protéger un modèle où la réussite économique se conjugue avec la fraternité et l’engagement…

Partager :

Région : un budget anti-crise historique pour 2021

Il y a un an exactement en présentant le Budget Primitif 2020, je prononçais la phrase suivante : « L’intérêt du sérieux budgétaire est aussi d’être réactif et de répondre aux attentes en cours de mandat en fonction d’évènements qui surviennent sans être immobilisé par le poids d’une dette trop lourde ou bloqué par l’absence de marges de manœuvre. »

Chacun conviendra que 2020 a permis de vérifier la pertinence de mes propos. Continuer la lecture de « Région : un budget anti-crise historique pour 2021 »

Partager :

Adoption d’un plan massif de relance à la région Pays de la Loire

Ce jour à la Région des Pays de la Loire, le Conseil Régional a adopté le plan de relance présenté par Christelle MORANCAIS, notre Présidente.

Ce plan de 332 millions d’euros est massif et à la hauteur de la crise économique et sociale qui déferle. Dans la même session, nous allons adopter le compte administratif 2019 et le budget supplémentaire, traduction financière du plan de relance.

Je vous laisse découvrir mon intervention pour présenter les rapports de la commission des finances que je préside. Continuer la lecture de « Adoption d’un plan massif de relance à la région Pays de la Loire »

Partager :

Pendant la crise du Coronavirus, la Région Pays de la Loire sur le pont

Depuis le début de la crise sanitaire, sous l’autorité de Christelle MORANCAIS, sa présidente, la Région des Pays de la Loire est sur le pont.

Pour faire fonctionner le service public régional tout d’abord. En à peine quatre jours plus de mille agents du siège et des antennes régionales, sont en télétravail et assure les missions de la région. Concrètement et par exemple établir les mandats pour régler les factures des entreprises. Les lycées fermés depuis le 9 mars nécessitent une attention particulière. Au moins un agent par lycée assure une présente aux côtés des personnels de l’éducation nationale. Concrètement et par exemple pour assurer la maintenance informatique pour permettre les cours à distance.

Pour soutenir l’économie ensuite. Un plan de 50 millions d’euros a été voté dès le 19 mars 2020 (Première région à le faire). Des prêts de trésorerie, des avances remboursables, des suspensions de remboursements d’aides, etc.

Pour soutenir aussi le milieu associatif, culturel ou sportif, avec un total de 4,3 millions d’euros.

Pour venir en aide enfin aux associations qui œuvrent auprès des plus précaire avec un fonds d’urgence de un million d’euros.

Encliquent sur le lien ci-dessous des détails dans un article de l’HEBDO SEVRE ET MAINE

LHebdo_de_Svre__Maine_10_20200415220000

Partager :

Budget primitif 2020 à la région Pays de la Loire

Le Conseil Régional des Pays de la Loire est en session pour adopter le budget primitif pour 2020. J’ai présenté ce matin ce budget dynamique et responsable en cohérence avec la trajectoire financière sérieuse et transparente de la Région depuis notre arrivée en 2016.

Voir une courte interview en cliquant ICI

cp budget

Madame la Présidente,

Mes chers collègues,

 

Il m’appartient de vous présenter ce matin le 5ème budget du mandat en cours : le dernier qui sera exécuté en totalité dans le mandat.

Acte politique majeur, ce budget s’inscrit pleinement dans la stratégie budgétaire mise en place dès notre arrivée en 2016. Il en respecte les fondamentaux :

  • Maitrise des dépenses de fonctionnement
  • Haut niveau d’épargne brute
  • Investissement soutenu
  • Capacité de désendettement largement au-dessous des seuils maximum
  • Aucune augmentation des impôts.

Cette constance dans l’effort est méritoire tant le gouvernement redouble d’imagination pour chaque année vouloir faire payer aux collectivités territoriales son incapacité à maîtriser les dérives budgétaires de l’état.

Même si à l’heure où je vous parle, le gouvernement essaie de corriger la situation, il faut s’arrêter sur les conséquences de la réforme de l’apprentissage.

Premier exemple de recentralisation d’une compétence régionale depuis 1982/1983, ce qui est déjà singulier, les Pays de la Loire connaissent une double peine spécifique, à la fois politique et budgétaire:

 

 

  • la majorité régionale avait fait de l’apprentissage dès 2016 une priorité de ses politiques publiques avec un plan très ambitieux et des moyens dédiés. Les résultats sont au demeurant sans appel : + 6 345 apprentis en 4 ans soit une hausse de + 24% ! La proportion d’apprentis parmi les jeunes de 16-25 ans est désormais la plus élevée de France. Résultat, on nous retire une politique publique qui n’avait jamais aussi bien fonctionné ! Au moment où les acteurs publics sont interpellés sur l’efficacité de l’action publique, il est quand même paradoxal d’arrêter ce qui marche !
  • deuxième effet : cette réforme impacte très fortement le budget régional. Non seulement il n’y a pas de neutralité budgétaire mais la Région des Pays de la Loire va devoir payer, si le projet de loi de finances n’est pas modifié, 8,4 M€ tous les ans à l’Etat, somme qui sera ensuite redistribuer aux régions qui ont le moins dépensé pour l’apprentissage et qui, par ailleurs, vont percevoir de l’Etat une dotation supplémentaire parce que leurs dépenses d’apprentissage ayant été inférieures à leur recettes d’apprentissages pendant la période de référence, l’Etat compense cette différence. Autrement dit, les mauvais élèves qui ont utilisé la recette de l’apprentissage pour autre chose que l’apprentissage pendant des années sont récompensés et les Pays de la Loire, qui faisaient un effort budgétaire au-delà de la seule ressource d’apprentissage, sont pénalisées durablement ! On marche sur la tête !

Des amendements sont en cours de dépôt et de discussion, il est extraordinairement compliqué d’en mesurer les véritables incidences et aucune certitude aujourd’hui de retrouver tout ou partie de ces 8,4 millions d’euros.

 

Pour le reste, l’érosion constante des dotations de l’état se poursuit, le fonds de péréquation de la CVAE vient atténuer de manière importante les recettes pourtant dynamiques de cette CVAE.

Les recettes liées au dynamisme économique comme la fraction de TVA qui a remplacé la DGF augmentent lorsque celles qui se décident à BERCY diminuent.

Pendant ce temps, l’état qui n’a pas voté un budget en équilibre depuis 1974 s’inquiète du niveau de nos dépenses dont il veut limiter l’augmentation à 1,2%. Beaucoup d’énergie dépensée pour rien puisque les nôtres ont baissé de 4% l’an dernier et que tout laisse penser qu’il en sera de même pour 2019 et 2020.

Notre majorité avait bien compris que la maîtrise des dépenses publiques et en particulier celles de la Région est la clé d’une véritable ambition régionale.

La maitrise de la dépense garantit un haut niveau d’épargne brute qui lui-même permet un investissement soutenu qui n’est pas pénalisé par une dette insupportable.

Ce cycle vertueux a permis de redresser les comptes de la région, d’assainir ses finances, de réaliser 450 millions d’investissements directs par an tout en ralentissant nettement la progression de l’endettement.

Au cas où certains d’entre vous, peu nombreux j’en suis sûr, douterait de mon objectivité, je vous livre quelques lignes du dernier communiqué de l’Agence STANDARD&POORS diffusé vendredi dernier qui se passe de commentaires :

 

« La région bénéficie d’une gouvernance et d’une gestion financière très fortes. Le pilotage financier et le suivi de l’exécution budgétaire sont de qualité. Les objectifs budgétaires d’ici 2021 sont précis. La gestion de la dette est prudente et diversifiée. Nous estimons que les performances budgétaires de la région seront meilleures que celles anticipées dans notre précédent scénario central. »

On est loin de la baisse de la note subie en 2016 à raison des errements de la majorité précédente.

Le CESER dans son avis avec les termes qui sont les siens porte un jugement très proche, ses remarques portant essentiellement sur des questions de présentation.

Ce sérieux budgétaire démontré par l’exemple n’a d’intérêt que parce qu’il permet le déploiement de nos politiques publiques avec sérénité et ambition selon la formule de notre Présidente.

Ces politiques publiques s’articulent depuis 2016 autour du combat pour l’emploi local, pour l’équité territoriale et pour l’efficacité régionale. Je ne vais pas détailler les actions qui illustrent chacun de ses combats.

Chacun sait et reconnait nos réussites en termes d’emploi, en termes d’apprentissage, les succès du pacte pour la ruralité, l’ambitieuse stratégie d’investissement dans les lycées, les efforts faits dans le transport ferroviaire ou scolaire, et l’efficacité dans la gestion des ressources humaines, de la transition numérique ou même tout simplement pour rénover l’hôtel de région qui n’avait pas connu de travaux depuis bien longtemps.

 

 

Mais l’intérêt du sérieux budgétaire comme dans le monde économique est aussi d’être réactif et de répondre aux attentes en cours de mandat en fonction d’évènements qui surviennent sans être immobilisé par le poids d’une dette trop lourde ou bloqué par l’absence de marges de manœuvre.

Ce budget primitif 2020 comme les précédents l’illustre.

Comme il avait fallu gérer les conséquences de la réforme des lycées sur le cout de la gratuité des manuels scolaires, comme il faut à intervalles réguliers supplée aux défaillances de l’état dans la rénovation de lignes ferroviaires, le budget 2020 permet à la région de déployer des politiques ambitieuses dans plusieurs domaines :

  • le domaine de la santé
  • la transition écologique (compétence eau) et énergétique
  • le plan alimentation santé
  • la vie associative
  • la livraison d’équipements importants : lycée de Nort sur Erdre, le CREPS ou le Musée CLIGMAN.

 

Je vous propose maintenant dans la projection qui va suivre de détailler les priorités régionales affichées avec ambition dans ce budget et de vous présenter les grands équilibres du budget 2020.

 

 

Partager :

La Région confirme la baisse de ses dépenses

L’assemblée régionale des Pays de la Loire est réunie en séance plénière du 17 et 18 octobre, pour examiner la décision modificative n°3 ainsi que les principales orientations du futur budget primitif pour 2020 soumises au vote du Conseil régional en décembre prochain.

En présentant la stratégie budgétaire régionale, Laurent Dejoie, président de la commission finances, a confirmé une baisse des dépenses de fonctionnement, à hauteur de -1,04 % depuis 2015. Une double occasion : celle d’une une mise au point à la suite des communiqués de la Cour des Comptes, et la confirmation de l’action régionale en faveur d’une gestion responsable du budget de la collectivité et de l’argent des Ligériens.

En effet, dans une analyse diffusée fin septembre 2019, la Cour des Comptes mentionne une augmentation de 8,8% (entre 2015 et 2018) des dépenses réelles de fonctionnement pour les Pays de la Loire. Ce chiffre ne tient malheureusement pas compte des retraitements validés par la Préfecture de Région et signalés par la Région par un courrier du 26 juillet 2019.

A périmètre constant, la Région des Pays de la Loire confirme donc la baisse de son train de vie et, plus globalement, de ses dépenses réelles de fonctionnement à hauteur -1,04% depuis 2015.

Cette maitrise des dépenses de fonctionnement place d’ailleurs la Region des Pays de la Loire au premier rang des Régions avec le plus faible niveau de dépenses de fonctionnement par habitant (222€ par an et par habitant).

Par ailleurs, cette même analyse de la Cour établit des comparaisons entre les Régions, sans tenir compte du fait que certaines Régions ne se sont pas engagées financièrement dans le plan 500 000 formations et le plan investissement compétences (PIC), ce qui représente pour les Pays de la Loire un volume de 70,3M€ (sur la période considérée).

Enfin, la Région des Pays de la Loire, seule Région métropolitaine engagée dans la démarche de certification, poursuit des efforts d’envergure pour assurer la fiabilisation de ses comptes.

 

 

Partager :

La Région Pays de la Loire bien notée

Lors de la session qui s’achève de jour nous avons adopté le Compte Administratif 2018 qui illustre la politique budgétaire de la région. Investissement soutenu, maitrise de la dépense publique qui baisse à périmètre constant et stabilisation de la dette. La région se lance dans la démarche de certification des comptes pour améliorer sa technique budgétaire.

Nous ne sommes pas les seuls à dire que la situation financière de la région est bonne. Je vous laisse découvrir le communiqué de presse suite à la notation de STANDARD&POORS.

Communiqué de presse suite à la note de STANDARD&POORS

L’agence constate en effet la pertinence de la nouvelle trajectoire financière mise en oeuvre depuis 2016 :

« La Région des Pays de la Loire dispose de fondamentaux économiques solides, et bénéficie d’une gouvernance et d’une gestion financières très favorables. Les objectifs budgétaires jusqu’en 2021 sont précis, la gestion de la dette prudente et diversifiée. La Région des Pays de la Loire sera en mesure de maintenir des performances budgétaires solides et limitera son endettement jusqu’en 2021. »

Le maintien de cette bonne note financière obtenue en 2018 est en effet le fruit du sérieux budgétaire que la Région a mis en place dès 2016, fondé sur une trajectoire d’investissements soutenable, des dépenses maîtrisées et un net ralentissement du recours à l’emprunt. Aujourd’hui, Standards & Poor’s confirme donc son analyse positive et salue la politique volontariste de transparence choisie par la Région :

« La Région des Pays de la Loire est la seule Région engagée dans le processus de certification des comptes publics locaux, ce qui renforce notre vision d’une gouvernance et d’une gestion financières très fortes. »

C’est une très bonne nouvelle pour la Région des Pays de la Loire dont les efforts et les choix budgétaires sont ainsi reconnus :

« Le maintien de notre note par Standards & Poor’s, autorité indépendante de référence, témoigne de la pertinence de notre stratégie budgétaire fondée sur la responsabilité, la maîtrise des dépenses publiques et la transparence. C’est une vraie reconnaissance et une fierté pour notre Région. Elle nous permet d’envisager le déploiement de nos politiques publiques avec sérénité et ambition », précise Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la loire.

Pour rappel :

En 2016, Standards & Poors avait abaissé la note de la Région à AA-, en précisant : « l’abaissement de la note à long terme reflète notre opinion selon laquelle la capacité de la Région à ajuster ses dépenses d’investissement est désormais plus réduite en raison d’un volume d’engagements pluriannuels pris par le précédent exécutif régional plus important qu’anticipé »,

elle avait donné une perspective positive dès 2017, saluant déjà les bons chiffres de la collectivité : « la perspective positive reflète une probabilité désormais plus forte que la Région puisse structurellement améliorer ses performances budgétaires, grâce à son épargne brute élevée et sa capacité éprouvée à ajuster les dépenses d’investissement qui devrait se prolonger dans les prochaines années ».

avant de rehausser la note de la Region de AA- à AA en 2018, jugeant alors la qualité et le sérieux de la gestion budgétaire mise en oeuvre.

 

Partager :

Budget primitif 2019 à la région

Ce matin à l’Hôtel de Région, j’ai présenté au nom de la majorité régionale le budget primitif pour 2019.

Aux dires même du CESER, un budget cohérent.

Cohérent car il traduit en chiffres la trajectoire politique de la majorité conduite par Christelle MORANCAIS.

Cohérent car il s’inscrit dans la trajectoire financière déterminée en début de mandat.

Pour lire le dossier, cliquez sur le lien ci-dessous.

CP_18-12-14_ ASSEMBLEE_BP-2019

Partager :

Orientations budgétaires 2019 à la Région

Aujourd’hui, j’ai présenté les orientations budgétaires pour 2019 à la session du Conseil Régional. Ce débat d’orientation budgétaire 2019 se singularise toutefois par une double incertitude qu’il est nécessaire de prendre en compte :

Une incertitude conjoncturelle d’abord, en raison d’une décélération de la croissance économique française, que le Gouvernement n’avait pas anticipée. La Région des Pays de la Loire fait le choix assumé de la responsabilité et de l’équilibre qui permet de garantir durablement sa solidité financière tout en continuant à investir pour l’avenir des territoires ligériens. Ce choix a d’ailleurs été salué avant l’été par l’agence de notation financière Standard & Poor’s qui a rehaussé la note financière de la Région de AA- à AA, soit la note maximale pouvant être attribuée à une collectivité locale

Une incertitude structurelle ensuite, provoquée par des choix gouvernementaux imposés unilatéralement aux collectivités et en particulier à la Région. En effet, comme beaucoup de collectivités, les Régions sont confrontées à une véritable incohérence financière du Gouvernement :

  • d’un côté, ce dernier veut imposer une contractualisation financière avec les collectivités visant à encadrer les dépenses publiques locales alors même qu’il continue d’accroitre son déficit de 16,4 milliards d’euros en 2019 ;
  • et de l’autre, les collectivités responsables doivent engager des financements nouveaux afin de pallier les retards et les désengagements successifs de l’Etat, s’agissant du développement économique, des aides aux agriculteurs biologiques ou encore des retards préoccupants sur le respect des engagements financiers du Contrat de Plan Etat-Région (Ligne Clisson-Cholet).

Par ailleurs, le Gouvernement s’est engagé dans un mouvement de recentralisation inédit et inquiétant pour l’avenir des territoires. Ainsi, la réforme de l’apprentissage qui va dessaisir les Régions de cette compétence majeure risque de briser la dynamique locale autour de cette voie d’excellence et fait planer une menace sérieuse sur l’avenir de nombreux CFA et sur le maillage territorial pertinent et efficace existant en Pays de la Loire. Refusant d’abandonner l’apprentissage, la Région prend ses responsabilités afin de ne pas briser la dynamique impulsée par l’action régionale depuis 2016.

Face à ce contexte et à cette situation, les orientations budgétaires 2019 doivent amener la collectivité régionale à maintenir le cap qu’elle s’est fixée, celui d’investir pour l’avenir.

Investir raisonnablement mais résolument aujourd’hui, c’est-à-dire à un niveau élevé mais compatible avec son niveau de ressources, pour ne pas sacrifier l’investissement de demain. C’est encore une fois, une question de responsabilité politique devant les Ligériens.

Ce cap, c’est celui qui doit permettre à l’institution régionale de conforter son action volontariste pour améliorer le quotidien des habitants et préparer l’avenir des Pays de la Loire en renforçant le développement et le rayonnement de tous ses territoires.

 

 

Partager :