Les beaux esprits et autres intellectuels éclairés opposent trop souvent la proximité à la stratégie, comme si l’écoute de nos concitoyens empêchait irrémédiablement la hauteur de vue.
Les élections régionales des 6 et 13 décembre prochain fourniront, je l’espère, une démenti clair à cette idée trop politiquement correcte.
Bruno RETAILLEAU, tête de la liste d’Union de la Droite et du Centre, dont j’ai l’honneur de faire partie est l’exemple emblématique qu’une véritable stratégie régionale ne peut reposer que sur une connaissance fine du terrain.
Conseiller général pendant 28 ans, Président du Conseil Général de Vendée jusqu’en mars 2015, impliqué dans les dossiers locaux, Bruno RETAILLEAU a nourri sa réflexion de son expérience de terrain.
Je peux en témoigner personnellement pour avoir travaillé avec lui sur le bassin de la Sèvre Nantaise. Son sens du contact et sa simplicité, sa capacité de travail et sa connaissance des sujets, lui permettait de fixer un cap et des objectifs clairs, correspondant aux attentes de tous les acteurs de la rivière.
Les vendéens savent mieux que quiconque que ce travail de terrain peut servir une ambition collective. L’identité vendéenne qu’il incarne n’est pas un repli mais elle est le moteur d’une économie dynamique, alliant emploi local et capacité exportatrice.
Les identités ligériennes ont tout à gagner avec un homme de proximité capable de porter une ambition régionale partagée pour les Pays de la Loire.
Il faut signaler que Bruno RETAILLEAU a eu le courage de laisser volontairement son mandat départemental et la présidence du département de la Vendée pour servir l’ensemble de la région.
Soyons juste, le chef de file socialiste a aussi abandonné son mandat municipal en 2014, mais pour cause de défaite électorale cuisante à SAINTE LUCE SUR LOIRE !
Le projet que Bruno RETAILLEAU dévoilera début novembre sera le reflet de cette conjugaison de la proximité et d’une véritable ambition régionale. On le verra en matière d’emploi, d’apprentissage ou de transports. Sur cette question des transports, la Région vit aujourd’hui sur les acquis des investissements d’infrastructures réalisés sous les présidences d’Olivier GUICHARD et François FILLON.
Et on constate malheureusement, qu’une absence de stratégie et d’ambition de la majorité socialo-écolo-communiste nous coute cher aujourd’hui.
Chacun constatera, par exemple, que le temps de trajet NANTES-PARIS a augmenté de près d’un quart d’heure en vingt ans quand RENNES va être à une heure de PARIS ou BORDEAUX à deux heures de la capitale.
La politique irresponsable dictée par les Verts, supprimant tout euro pour les infrastructures routière régionales ignore totalement les besoins des ligériens. Sans doute que les socialistes et les verts ligériens imaginent que leurs électeurs résident tous à proximité d’une gare !
Et on ne reviendra pas sur l’abandon en rase campagne, sur décision hollandaise, de l’ A831 ou les tergiversations gouvernementales sur le projet de Notre Dame des Landes.
La promotion des identités ligériennes, l’aménagement réel du territoire des Pays de la Loire, le développement économique au service de l’emploi seront des marqueurs de l’ambition régionale de Bruno RETAILLEAU, une ambition encore une fois nourrie de son expérience de terrain et de son sens de la proximité.
Cette ambition régionale, si les électeurs nous font confiance, sera portée par un homme d’envergure nationale, dont l’influence dépasse depuis longtemps, les frontières de notre Région.
Dans un état encore plus déconcentré que décentralisé, ce sera un atout essentiel pour les Pays de la Loire.
