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Oh là là Laurent Dejoie est en colère !
Cependant, après avoir pris connaissance de son billet, j’ai eu du mal à rebondir sur les sujets évoqués, suite à l’hommage rendu aux victimes du 13 novembre, par le Président de la République.
Je ne suis pas souvent d’accord avec François Hollande, mais je dois reconnaître que dans la cour des Invalides, notre Président a su employer les mots justes, un ton grave comme les instants que nous vivons, et dans son discours avoir la juste mesure entre compassion et combat.
Même s’il ne faut pas tout mélanger, je tenais à exprimer ce sentiment avant d’aborder les points qui font enrager Laurent Dejoie.
Incohérence ?
Laurent Fabius, le Chef de la d^plomatie française s’exprimait en ces termes le 27 novembre sur RTL :
« Pour lutter contre l’organisation jihadiste de l’Etat Islamique, il y a deux séries de mesures ; les bonbardements et des forces au sol, qui ne peuvent pas être les nôtres, mais qui doivent être des forces de l’armée syrienne libre, des forces arabes sunistes , et pourquoi pas des forces du régime.
Cette déclaration tranche avec la position affichée p
Suite du commentaire ci-dessus, parti prématurément…
J’écrivais donc que cette déclaration du Ministre des Affaires Etrangères tranchait avec la position affichée par la France depuis le début du conflit syrien qui consistait, avant toute discussion,
à réclamer le départ du président Bachar-al-Assad
Virage louable dit Laurent Dejoie, c’est oublier un peu vite les 300000 morts dont est responsable ce dictateur !
Mais que faire ? Dans quelle position nous sommes nous mis !
Incompétence ?
Lapalissade ! Vite ramenez-nous Cahuzac à Bercy……ça commence à sentir le sapin, pas celui de noël , mais le bois de cercueil.
Indécence
Rappelles-toi Laurent que déjà en 1999, la crèche réalisée par une aide-soignante de l’Hôpital de Vertou, dans un coin de couloir, avait fait l’objet de vifs échanges d
Encore parti !
Je disais donc que cette fameuse crèche avait fait l’objet d’échanges vifs à travers le courrier des lecteurs du journal Ouest France.
C’était au siècle dernier……………..