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Je suis un fidèle lecteur de Ouest-France et, après les sports…, je reviens aux premières pages et plus partculiement à l’Editorial de la Une.
Que dit François Régis Hutin?
Des vérités criantes, des lapalissades, que nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis, avec nos enfants et petits-enfants.
Que la France soit en déclin? C’ est une réalité dont les organisations syndicales, qui ne représentent que 7% des salariés français, si elles ne sont pas responsables de l’ensemble de cette mise à mal, y particpent toutefois grandement, en bloquant régulièrement l’économie du pays, et ce, en quelques circonstances, pour faire en sorte de montrer qu’elles existent .
Et que dire des partis politiques irresponsables qui, notamment par la voix de Ségolène Royal, incitent les lycéens à descendre dans la rue, alors que la plupart ne savent même pas pour quoi ils manifstent, sinon pour gagner une journée sans cours, j’ai fait Mai 68 et je sais de quoi je parle.
France pays de liberté. Alors laissons étudier ceux qui veulent étudier, laissons travailler ceux qui veulent travailler et laissons faire la grève à ceux qui veulent faire la grève.
Mais Monsieur le Président ne laissons pas le droit à une petite minorité la possiblité de dicter sa Loi à une grande majorité.
Mesdames et Messieurs les leaders politique représentants de l’opposition,les "responsables des grandes centrales syndicales ( qui entrent parfois discrètement par les portes arrières de l’Elysée ou de Matignon), seriez vous prêts à ce dialogue loyal et à cete coopération qu’appelle de ses voeux Franois Régis Hutin ?
J’en doute, pourtant cela vous grandirait et vous pourriez être des partenaires reconnus pour enrayer ce déclin que nous sommes en train de laisser en héritage aux générations qui nous suivent et nous regardent .
Je sais que je vais faire grincer des dents, mais ce discours est-il aussi décalé que certains voudront bien le dire ?
Comme je suis d’accord avec vous. Cet éditorial fait l’unanimité. Il rassemble tous ceux qui l’ont lu et quel que soit leur âge. Oui, c’est vrai, le port d’Hambourg donne à rêver. Nostalgique de nos grands ports français, je m’étais exprimée sur le sujet il y a quelques années sur le blog, à l’occasion d’un séjour outre-Rhin.
François Régis Hutin rappelle dans son éditorial une notion fondamentale:
" La démocratie …. c’est aussi la liberté de circuler et le droit de travailler et d’étudier."
Il devrait en être ainsi. En réalité, la démocratie est un cosmétique: c’est de la poudre aux yeux, de celles dont le grain n’est pas testé dermatologiquement. C’est tout simplement irritant de voir ce que devient notre pays.
Si j’avais du talent pour la caricature, je dessinerais un tas de fumier et dessus un petit coq à la voix éraillée, tentant un vain cocorico accompagné à la guitare par une grande Marianne éplorée. Voilà l’état de la France, avec des gamins dans la rue bien coachés tout au long de leur parcours du parfait semeur de troubles et des journalistes qui se régalent en photographiant des écoles mises à mal. On sait maintenant ce qui les intéressent.
Et encore, s’ils signaient leurs articles….
Combien je suis d’accord avec François Régis HUTIN, avec Bepe et Yanou. Et je suis bien certain que nous sommes loin d’être seuls.
Quel moyen les citoyens pris en otages par cette petite frange de la population pourraient-ils mettre en oeuvre pour faire entendre leurs voix?
Faudrait-il organiser une manifestation nationale, du genre de celle lancée en son temps par les défenseurs de l’Ecole Libre? Une manifestation pour une France libre.
Manifestations dans les grandes villes pour faire valoir leur droit au travail, au déplacement en liberté, préserver les emplois non assurés de ceux qui n’ont pas le soutien d’une administration irresponsable?
Peut être que les journalistes en profiteraient enfin pour cesser de ne parler que des trains qui n’arrivent pas à l’heure?
Qui peut lancer un tel mouvement?
Je suis prêt à suivre s’il était lancé.
Sans être appointé par Ouest France, j’invite ceux que cela intéresse à prendre connaissance de l’Editorial de ce quotidien, paru à la Une ce mardi 19 octobre, rédigé par Paul Burel et intitulé "Jes syndicats jouent gros".
Sans prétention aucune, les intervenants ci-dessus sur ce sujet ne disaient pas autre chose que l’auteur de ce papier en évoquant cette "petite frange de la population"( les centrales syndicales et leurs inconditionnels) qui, pour justifier les cotisations qu’elles encaissent ainsi que les subventions d’Etat qu’elles perçoivent, prennent l’économie nationale en otage, avec pour base d’appui la réforme des retraites, dont tous, même les Thibault, Chérèque et consorts, savent pertinemment qu’elle est essentielle et incontournable.
Ils en sont tellement convaincus qu’ils ne savent pas "comment trouver la porte de sortie après le vote du Sénat en "rentabilisant" au mieux leur participation dans un mouvement collectif".