La campagne des régionales m’amène à de passionnantes visites de terrain. Samedi à 4h30 à la Criée du CROISIC, plus tard en Brière. Ce mardi à SAINT NAZAIRE, à AIRBUS et STX, avec aussi des rencontres avec des sous-traitants et les organisations syndicales.Vous pouvez voir des images et des vidéos sur la page 44 du site de Christophe BECHU.
ECHOS DE CAMPAGNE
La campagne des régionales m’amène à de passionnantes visites de terrain. Samedi à 4h30 à la Criée du CROISIC, plus tard en Brière. Ce mardi à SAINT NAZAIRE, à AIRBUS et STX, avec aussi des rencontres avec des sous-traitants et les organisations syndicales.Vous pouvez voir des images et des vidéos sur la page 44 du site de Christophe BECHU.
Quand aurons-nous le plaisir de vous voir tous ensemble ou en petit comité – par souci de discrétion et pour prendre en flag’ les automobilistes en tous genres qui empêchent journellement les piétons de circuler en sécurité – rue Crébillon, rue Voltaire et dans les rues adjacentes, en centre ville de Nantes, en semaine? Un exemple parmi d’autres, celui que je connais.
Vous me direz sans doute que c’est l’affaire de la mairie ou de Nantes Métropole. Je vous répondrai alors que les problèmes de transport et de communication sont aussi l’affaire de la Région. Les trains desservent les villes et c’est ainsi que l’on découvre une région, de ville en ville. Si l’on ne parvient pas à se déplacer sans danger à pied en centre ville, comment voulez-vous que l’on s’engage plus avant dans la découverte de notre région ?
Je mets ici l’accent sur le respect dû aux piétons dans leur ensemble, mais surtout aux jeunes enfants en poussette et aux personnes en fauteuil roulant, réunis sous l’appellation "personnes à mobilité réduite". Nous sommes bien dans une problématique régionale, n’est-ce pas ?
Sur le chemin de mon travail, je fais tous les jours campagne pour celles et ceux qui s’inscrivent dans ce champ. Hier matin, j’ai fait déplacer un camion garé sur le trottoir. Je vous laisse le soin d’ imaginer ce que j’ai pu entendre….Vous l’aurez compris, pas de courtoisie de la part de mes interlocuteurs, pas de poignées de main non plus – comme sur les jolies photos du site de Christophe Béchu – mais des insultes, des empoignades aussi pour lesquelles j’aurais toute raison de porter plainte. Je le ferai en temps utile, mais pour l’instant, ce qui m’est insupportable, c’est d’entendre que l’ « on n’en a rien à foutre de laisser de la place pour les personnes handicapées ou les petits enfants ». Aussi, ce qui est prioritaire, sans attendre une seconde, c’est de dénoncer un tel mépris, pour que des sanctions soient appliquées, et pas des moindres, s’il vous plaît.
De vous, Mesdames, Messieurs, engagés dans la campagne des Régionales, j’attends beaucoup sur ce plan. Je veux vous voir concrètement à l’œuvre et je ne suis pas la seule, Monsieur Béchu.
Nantes est citée en exemple sur le plan de l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Permettre l’accès ne suffit pas, encore faudrait-il faire respecter ces dispositions.
Alors, le civisme est-il à votre programme et quel dispositif proposez-vous pour le faire respecter? Car c’est bien de cela dont il s’agit.
Les électeurs à aller chercher sont-ils vraiment sur les marchés ? De mon point de vue, non.
Ce sont les usagers de nos villes -petites ou grandes- de leurs rues, de leurs transports en commun, exposés à cette irrévérence qui donne la nausée, qu’il faut convaincre.
Le marché des Régionales, il est là, criant de vérité.
D’avance merci à vous, cher Monsieur Dejoie, de vouloir bien vous faire messager de ce billet auprès de votre groupe.
Avec mes encouragements.
Félicitations pour votre intervention Samedi dernier à La Baule, quel plaisir de voir ce plateau réuni dans une ambiance chargée d’émotion. Le message plein d’energie de Christophe Béchu a été très bien reçu et c’est avec un moral "gonflé" à bloc que nous somme sortis de cette soirée. Encore Bravo, comptez sur nous pour porter le message de C.Béchu !
L’avez vous bien compris Messieurs Béchu et Dejoie, les voix ne sont pas à aller chercher sur les marchés ou la populace s’approvisionne, mais bien dans les ghettos du centre ville de Nantes.