Lu sur le site Internet du Figaro : « Aéroports, cinémas, hôpitaux, hôtels, gratte-ciels, il n’est pas rare de voir le chiffre treize banni par superstition ou par tradition. N’ayant de cesse d’intriguer, le treize est même à l’origine de l’arithmophobie (peur des chiffres), la triskaïdékaphobie (peur du chiffre treize) et de la paraskevidékatriaphobie (peur du vendredi treize). »
Ceux qui n’ont pas la phobie de mon blog auront appris des mots nouveaux!
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Bonjour Laurent,
Pour ta campagne tu peux compter sur moi,la vieille garde UMP est avec toi.
Amicalement, André du Bignon.
Etre treize à table c’est aussi bien qu’être douze ou quatorze, à condition bien sûr qu’il n’y ait pas un traître parmi les convives….
Treize, c’est aussi la BD culte à dévorer des yeux pour colorer la grisaille de novembre.Très intéressant, certainement!
Mais comment nomme-t-on les gens qui ne veulent pas prononcer [trèz]?
Si ce syndrome existe, il doit être très exaspérant, plus encore, "quatorsement" insupportable.
voir une riche explication:
http://www.rue89.com/explicateur...