Evoquant l’important projet de rénovation de l’école des Treilles pour lequel une concertation préalable avec les enseignants et les parents d’élèves a eu lieu, les représentants de la FCPE ont critiqué la semaine dernière dans la presse sur un ton démesurément alarmiste cet aménagement qu’ils jugent « incomplet ».
Qualifiant la cour d’école de « spectacle désolant », il leur est rappelé à toutes fins utiles que la Cour a été refaite en 2001 pour un montant de travaux de 45 000 € et qu’elle répondait curieusement jusqu’ici aux besoins récréatifs des enfants.
Quant à la demande de la FCPE de planter des arbres « donnant de l’ombre aujourd’hui et pas dans 20 ans » – ce qui va totalement à contre courant des enjeux actuels du développement durable – la municipalité considère pour sa part que le respect de la nature et l’observation de la croissance naturelle des végétaux font eux aussi partie de la pédagogie et de la sensibilisation des enfants au respect de l’environnement.
Je rappelle enfin que cet important programme de rénovation qui est aujourd’hui engagé et dont le montant s’élève à plus de trois millions d’euros répond à trois priorités : réhabiliter les salles de classe, refaire l’isolation générale du bâtiment et réaliser des aménagements permettant l’accessibilité des personnes en situation de handicap. La priorité étant d’améliorer l’accueil et le confort des élèves et des enseignants au sein des bâtiments.
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J’ai moi aussi lu la presse. La FCPE est heureusement en droit de pouvoir s’exprimer mais elle ne représente pas l’ensemble des parents d’élèves des Treilles….malgré ce qu’elle a laissé entendre.