Bonsoir à tous.
Sur le blog, la campagne se termine ce soir.
Merci à tous ceux qui ont participé à un débat ouvert et transparent. La richesse des échanges a nourri la campagne de VERTOU C’EST VOUS.
Cette dernière vidéo de campagne rappelle que pour les colistiers de VERTOU C’EST VOUS et pour moi, il s’agit dimanche de désigner elles et ceux qui représenteront les vertaviennes et les vertaviens pour six années.
Sur le terrain, la campagne s’arrête samedi soir.
Avec l’équipe, nous serons donc sur le terrain demain, à la rencontre des vertaviens parce que VERTOU C’EST VOUS.
Notre passion partagée pour VERTOU est, s’ils le veulent, à leur service.
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Il me reste donc 5 mn pour un dernier message à propos de la campagne.
La publication par Mme Lhostis de son comité de soutien : voilà un exercice instructif.
J’ai vu qu’une personne de mon quartier ets dans ce comité. Nous avons des enfants du même âge, on se dit quelques mots quand on se croise, et tous les ans on se fait une fête entre voisins.
Eh bien, quand j’ai vu son nom sur la liste je suis tombée des nues. Jamais elle ne m’a parlé de Martine Lhostis, de son action, ni de ses projets.
Drôle de soutien
Rappelez-vous.
Il y a quelques mois, lors de l’inauguration du centre de secours de Vertou, les amis de Martine L’HOSTIS ont occulté le nom de Luc DEJOIE car cela aurait une influence sur les élections municipales. Quelle hyppocrisie quand on voit dans la presse(Ouest-France) de ce samedi sous le titre "ELECTIONS MUNICIPALES" que Martine L’HOSTIS organise une réunion pour "rencontrer des femmes engagées, écouter leurs témoignages et participer aux débats"
Faut-il croire que cette manifestation n’a rien à voir avec la campagne. Les invités pourront discuter avec des femmes engagées . J’ose espérer que Madame L’HOSTIS n’aura pas l’outrecuidance de prendre la parole. Il me semble qu’elle s’est engagée dans la campagne et peut-être qu’elle se rend compte aujourd’hui qu’elle s’est perdue dans la campagne d’une commune qu’elle ignore.
Octobre : cahez ce nom que je ne surais voir, Mars : participez avec Martine L’HOSTIS .
Demain, électrices, electeurs n’oubliez pas ces deux événements et choisisssez le bon bulletin : VERTOU C’EST VOUS.
J’ai laissé un message la semaine dernière en évoquant une campagne que je jugeai transparente.
Ce matin, deux colistiers de la liste de Laurent dejoie sont venus sonner à ma porte.
J’ai donc changé d’avis et trouve que les gens sont sur le terrain.
Céline
Monsieur le Maire,
Dialoguer avec vous est un honneur. Vous l’aurez remarqué, outre la racine grecque LOGOS, ce mot est aussi composé de la particule DIA. Deux parties sont donc nécessaires à cette forme de communication. Au fil des articles, vous avez réussi à glaner de nombreux commentaires, auxquels vous avez répondu avec amabilité. Vous avez dit "dialogue"? Et pourtant, force m’est de constater que ces commentaires ont rarement été contradictoires, alors que par essence, un dialogue politique induit débats, contradictions, critiques, conflits réthoriques. Alors qu’Internet est sensé être un media interactif, votre site, est davantage un outil de propagande, qu’un espace de dialogue. J’imagine que dans une période de campagne électorale, il vous est apparu nécessaire de contrôler la pensée locale, qui n’y serait pas tenté?
La force d’un candidat est de savoir apporter des réponses aux problèmes de la cité, d’user de moyens réthoriques pour éliminer ses concurrents. Cela s’appelle le charisme, le courage politique. Et je doute que l’unité des commentaires que vous diffusez vous serve.
Monsieur le Maire, je n’ai rien a reprocher aux ouvrages que vous avez entrepris au cours de vos mandats. J’étais prêt à voter pour vous. Mais je suis démocrate. Et la démocratie nécessite le pluralisme des idées.
Vous dirigez notre ville de manière notablière et paternaliste et j’espère que ce temps digne de la monarchie de Juillet, cessera. Il fut un temps ou le notable de province accompagnait ses électeurs aux urnes. Il fut un temps où nous avions le choix d’un seul candidat. Aujourd’hui, le temps de l’alternance est venu.
En tant que citoyen, j’ai le droit d’obtenir une réponse de votre part. En tant que membre et élu politique de notre communauté, vous avez le devoir de répondre à mes critiques.
En l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, monsieur le Maire, l’expression de ma considération distinguée.