Dominique PRIOU, le Président de l’association « les amoureux du désert » vient de rentrer d’une mission à BADINKO. Il nous envoie les dernières photos de la maison communautaire de BADINKO que la Ville de VERTOU a financé à hauteur de 28 000 € dans le cadre de son projet de coopération décentralisée.
Dominique PRIOU, le Président de l’association « les amoureux du désert » vient de rentrer d’une mission à BADINKO. Il nous envoie les dernières photos de la maison communautaire de BADINKO que la Ville de VERTOU a financé à hauteur de 28 000 € dans le cadre de son projet de coopération décentralisée.
Voilà une initiative très intéréssante qui ne demande qu’a être développé. Les associations qui s’impliquent au ceur d’un projet nous prouvent par cet exemple tout le bien fondé de leurs actions. Ce qui au départ représente une action ciblée, peut créer une dynamique d’échanges au sens large du therme, tisser des liens de ville à ville et, pourquoi pas, se concrétiser par un parrainage, voir un jumelage. Dans ce monde en nouvement, Vertou doit y trouver aussi sa place.
après l’Inde, le Mali. Deux exemples de coopération et d’aide pour des peuples qui ont besoin de l’aide des pays dits riches. des peuples dont le quotidien est souvent difficile. Je me réjouis que ma ville, à son échelle, participe et donne l’exemple de ce que peut être une commune solidaire.
D’accord avec François. Après les jumelages semi-folkloriques stéréotypés de l’après guerre, ou les jumelages semi-caritatifs primaires, certaines collectivités territoriales ont su saisir l’opportunité que leur offre la loi ATR de 1992 pour initier de véritables projets de développement dans un cadre d’une coopération décentralisée donnant enfin aux communes la possibilité d’avoir une véritable action extérieure (le tout en restant en accord avec le politique extérieure de la France en direction du pays aidé). L’initiative de VERTOU a ceci d’intéressant que, dans le cas de VEDARANYAM comme dans celui de BADINKO, elle se situe à mi-chemin entre le modèle français et le modèle européen de coopération décentralisée. Ce dernier invite en effet à élargir (au-delà des seules collectivités) les accords aux autres acteurs de la coopération, telles que ceux du milieu associatif. En ce sens, le fait que la municipalité se soit appuyées sur NANDI et les AMOUREUX DU DESERT, qui connaissaient bien le terrain, lui donnait toutes les chances de réussir. BRAVO pour la méthode et chapeau pour le résultat de ces deux initiatives solidaires.
Tout à fai d’accord avec MD. La méthode (municipalité qui s’appuie sur une association de terrain) emporte mon adhésion.
Au plus près des donateurs et des populations aidées, peu de frais de structure : les sommes données servent quasi intégralement au financement des projets, et non pas à de la communication.
Et les photos sont là pour nous montrer le résultat : convaincant.
Mais la prochaine fois, j’aimerais bien voir des femmes, des hommes et des enfants sur les photos. La simple présentation des locaux est un peu froide.