FETES DE VILLAGE

Ces dernières fins de semaine, j’ai répondu à l’invitation de plusieurs Vertaviennes et Vertaviens qui organisaient une fête entre voisins dans leur village ou leur quartier. C’est toujours avec plaisir que je réponds à ces invitations qui participent à la convivialité toujours très importante au sein de la commune. L’accueil y est toujours très agréable et permet d’avoir des échanges toujours intéressants. L’occasion de revoir des personnes que l’on n’a pas vu depuis quelques temps ou de faire connaissance avec de nouveaux arrivants. Un vrai moment de bonheur simple que les Vertaviens sont nombreux à préserver. C’est l’un des charmes de VERTOU dont je vais à nouveau profiter ce samedi dans deux villages.

Ces dernières fins de semaine, j’ai répondu à l’invitation de plusieurs Vertaviennes et Vertaviens qui organisaient une fête entre voisins dans leur village ou leur quartier. C’est toujours avec plaisir que je réponds à ces invitations qui participent à la convivialité toujours très importante au sein de la commune. L’accueil y est toujours très agréable et permet d’avoir des échanges toujours intéressants. L’occasion de revoir des personnes que l’on n’a pas vu depuis quelques temps ou de faire connaissance avec de nouveaux arrivants. Un vrai moment de bonheur simple que les Vertaviens sont nombreux à préserver. C’est l’un des charmes de VERTOU dont je vais à nouveau profiter ce samedi dans deux villages.

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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

2 réflexions sur « FETES DE VILLAGE »

  1. La remise en cause de notre profession n’aura pas forcément pour origine une directive Européenne mais simplement un texte d’origine française instillé par notre Président-avocat…

    Alors, je me permets de m’étonner qu’à l’occasion de l’installation de cette belle commission dénommée "commission pour la libération de la croissance française" présidée par Jacques Attali et comprenant une quarantaine de penseurs éclairés, notre Président-avocat ait pu stigmatiser notre profession (et trois autres), comme constituant une rente de situation.

    Je reprends les propos du Président-avocat que j’ai pu trouver sur le site de l’Elysée.

    "Deuxième piste : dynamiser le marché des biens et services. Augmenter la concurrence n’est pas une question d’idéologie. Il s’agit d’un coté d’accroître le pouvoir d’achat des Français en faisant baisser les prix, et de l’autre de permettre le développement d’activités qui sont aujourd’hui bridées par des réglementations qui sont obsolètes et contre-productives. C’est un enjeu de croissance. C’est fondamental pour que les autres réformes, notamment sur le marché du travail, produisent leurs effets. Il faut supprimer les barrières qui existent dans différentes professions réglementées. On va aller encore plus loin : il faut mettre fin à des rentes de situation que rien ne justifie aujourd’hui. Le rapport Rueff-Armand donnait déjà l’exemple des taxis, que j’aime beaucoup, il y a moins de taxis aujourd’hui à Paris qu’en 1931 ! Il ne faut pas s’énerver, il faut juste réfléchir. Des pharmaciens, des notaires ou des avoués, et je vois immédiatement trembler : « Mon Dieu, vous allez vous mettre des gens à dos ! » Non, on va trouver du travail pour des gens qui n’en ont pas. On va créer de la richesse pour que chacun en profite. On pourrait en ajouter quelques autres encore".

    Cela est d’autant plus amusant qu’il n’y a pas assez de candidats pour le concours des offices crées. Les candidats postulent majoritairement pour les mêmes communes…

    Après la banlieue, la magistrature, les fonctionnaires… les professions libérales, le Président-avocat nous insulte en nous conseillant de ne pas nous énerver. Cette injonction semble avoir été entendue car personne ne semble réagir. Je n’ai pas entendu parler d’une réponse du CSN. Oui il s’agit d’une véritable insulte car, même si le notariat comprend sa part incompressible de glandeurs, le ministère de notre profession exige un engagement total. Le notariat est loin d’être une sinécure et je ne pense pas que le rôle du Président soit de stigmatiser ses compatriotes.

    Alors si personne ne se bouge, c’est une autre vision du paysage qui va s’imposer à nous. Celle de la fin des professions libérales au profit de grosses entités capitalistiques car enfin, le but véritable n’est pas de créer les milliers d’emplois. C’est un prétexte et je donne un exemple: notre Président-avocat a émis la lumineuse idée, à l’occasion d’un autre discours, d’ouvrir les grandes surfaces le dimanche. Une idée intéressante qui permettra de dépenser son argent en deux fois… mais ne permettra pas de dépenser plus.

    Les services vont vivre la même révolution que le commerce de proximité avec la grande distribution que le Président-avocat affectionne tant. Le notariat sera absorbé par de gros cabinets (type Big Four) ou des banques, les pharmacies seront intégrées dans les grandes surfaces…

    PS: j’ai tellement l’habitude des rentes de situation que je vais essayer de me faire embaucher dans une commission.

  2. Sage décision que de se faire nommer membre d’une commission!
    Le problème français n’est pas tellement celui de prix trop élevés que celui d’un assistanat généralisé et d’une redistribution d’argent par le biais de charges sociales et fiscales sans commune mesure avec les autres pays modernes.
    Le président-avocat comme vous le dîtes a eu l’occasion de se déplacer dans d’autres pays et aura pu constater notamment aux USA que le coût de la vie quotidienne n’est pas élevé.
    En tout cas, l’habillement, l’alimentaire sont environ 20% moins chers qu’en France , la TVA est à 7% en moyenne. ( Sans tenir compte du taux de change très favorable actuellement).
    Le salaire moyen est plus élevé qu’en France.

    Il faut donc de toute urgence que le président avocat tienne fermement ses engagements sur la réforme des retraites des régimes spéciaux, la diminution drastique du nombre des fonctionnaires d’état mais aussi territoriaux et municipaux pour revenir à des valeurs compatibles avec un budget supportable par les citoyens.
    Les comptes sociaux sont une priorité absolue et il existe des possibilités d’économies importantes dans la gestion des hopitaux, l’octroi des pensions d’invalidité, d’incapacité au travail, etc…..

    Bref, il a dit qu’il ferait, ya plus qu’à !!!
    Je ne suis ni notaire, ni pharmacien, ni chauffeur de taxi, je ne suis pas bien sûr que de s’occuper de ces gens soit de la plus extrème urgence!

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