Belle réunion ce soir à la Beaujoire en présence de François FILLON, entouré de nombreux candidats de la majorité présidentielle. Belle revanche pour celui qui fut injustement battu aux régionales de 2004. François FILLON a rappelé que les engagements du candidat SARKOZY seraient tenus. Il a parlé longuement de la valeur du travail qui seule peut nous permettre de tirer notre épingle du jeu face à la mondialisation. Sur la TVA sociale qu’il préfère appeler la TVA anti-délocalisation, il en a objectivement présenté les avantages mais aussi les risques. Il a surtout indiqué que si les risques de hausse des prix ou de pouvoir d’achat étaient réels, elle ne serait pas mise en place. Enfin, sur le plan politique, il a réaffirmé que la politique d’ouverture continuerait même si cela ne plait pas au Parti Socialiste. Il a aussi invité le PS à la décence lorsqu’il parle de risques pour la démocratie si la majorité est trop forte. A-t-on parlé de risque pour la démocratie quand la gauche a emporté 20 régions sur 22? Critique-t-on la démocratie lorsqu’à NANTES, la Ville, la communauté urbaine, le département et la région sont dirigés par le PS ? (Retrouvez le discours de François FILLON)
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oups!! erreur….
En ce sens, il m’apparait intéressant d’exposer aux citoyens que la santé a un coût et que si nous voulons conserver ce luxueux système de santé et ne pas aller vers sa privatisation, il faut envisager de nouvelles recettes qui ne soient pas uniquement payées par les salariés. Ce sont quand même essentiellement, les personnes agées et les malades graves qui consomment et l’effort doit être justement réparti.
La CSG est un impôt qui touche tout le monde, c’est un bon début. La TVA sociale est surement intéressante dans le sens qu’elle permet habilement de contourner les accords commerciaux en taxant indirectement les importations.
Reste le point crucial et essentiel des mesures, réduire les dépenses et là, il y a un travail colossal à faire dans notre administration.
Alignement des systèmes de retraite, remise à plat des avantages acquis des employés des grandes entreprises nationales, il faut raisonnablement agir sur tous les leviers.
Le gouvernement aura les pouvoirs de le faire, les français lui en donnent clairement la mission et l’ordre de le faire….
Y’a plus qu’à !!!!!!!
Bon courage.
Cette réunion de famille politique a bien commencé puisqu’elle m’a permis de vous saluer. Elle fut bien conduite aussi et Monsieur Fillon a prononcé cette phrase que j’ai d’abord inscrite au stylo dans le creux de ma main, puis à la craie sur le tableau noir de la cuisine: "Il faut récompenser le travail, l’effort et le mérite." Bravo! ( J’ai, en effet été la première à applaudir)
Cela voudrait-il dire que j’ai mes chances, celles de pouvoir enfin exalter, comme Monsieur Fillon, mon auditoire en lui clamant que les "Belles Lettres" ne s’écrivent pas en verlan…, pas non plus au passé? Avis aux amateurs….