ANNIVERSAIRE

Demain, le 6 février, mon blog aura un an. Vous pourrez découvrir une nouvelle maquette, un peu plus attrayante et fonctionnelle. C’est pour moi l’occasion de satisfaire la curiosité du « vertavien » qui se demande ce que cela m’apporte.

Demain, le 6 février, mon blog aura un an. Vous pourrez découvrir une nouvelle maquette, un peu plus attrayante et fonctionnelle. C’est pour moi l’occasion de satisfaire la curiosité du « vertavien » qui se demande ce que cela m’apporte.

Lorsque l’on exerce des responsabilités municipales ou professionnelles, il est très intéressant d’échanger avec ses concitoyens. Ce contact direct permet de mieux les connaître et de voir leurs réactions sur telle ou telle question.

C’est aussi un moyen de faire connaître aux autres ce que je peux penser sur divers sujets. Non par exhibitionnisme, mais pour essayer de se faire mieux comprendre et pour expliquer une prise de position, un projet ou une décision.

Un blog permet aussi de partager des coups de coeurs ou des agacements que l’on peut éprouver.

En ce sens , un blog est un extraordinaire outil de communication directe.

Un blog c’est aussi un moyen d’écrire. Ecrire est un exercice qui permet de réfléchir et de discipliner sa pensée. L’écriture est indispensable à la formulation d’une idée ou d’un projet.

Dans une société d’image et de communication, les blogs redonnent à l’écriture une nouvelle jeunesse et viennent rappeler qu’INTERNET est un formidable support de l’écrit à côté du papier.

Voilà pourquoi depuis un an, je bloggue avec bonheur!

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Auteur/autrice : Laurent DEJOIE

Laurent DEJOIE Notaire Président de l'Association du Notariat Francophone Vice-président du Conseil Régional des Pays de la Loire

8 réflexions sur « ANNIVERSAIRE »

  1. Félicitations et longue vie à votre blog. Impatient de découvrir son nouveau look, celui-ci figure dans la liste de mes favoris et c’est avec curiosité que j’y fais un tour plusieurs fois par semaine si ce n’est tous les jours.

  2. Je suis toujours frappé de constater avec quelle mauvaise foi on parle souvent de l’Europe.
    Je suis certain qu’une partie de nos compatriotes continue à penser contre toute évidence que l’Europe communautaire ne sert à rien, sauf à nous empêcher de vivre notre petite vie tranquille dans notre bonne vieille France.
    Hors du monde ? quel monde, puisque la France c’est le monde ?
    Je suis certain que pour les mêmes, ou d’autres, l’Europe communautaire se résume à une armée de fonctionnaires délirants et à d’aimables réunions de chefs d’états et de gouvernements sans pouvoir et peut-être même sans ambition pour elle.
    Pourquoi ne met-on pas plus en avant l’Europe dans notre pays ? Pourquoi faire des promesses dont on sait qu’elles ne pourront être tenues, faisant de l’Europe un bouc-émissaire facile ? Pourquoi pas un Ministre de pour la promotion de l’Europe ? Pourquoi une télévision quasi-muette sur ce sujet ?
    Pourquoi pas d’explication, nulle part ? Pourquoi tant de maladresses lors du référendum ?…

  3. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Oui Pat , je me pose les mêmes questions que vous et le débat engagé en 2005 n’est pas clos et chaque citoyen attends de le poursuivre . Pour mes petites filles Charlotte et Sidonie, pour Alix que je ne connais pas et pour toute la jeunesse de notre beau pays , j’attendais beaucoup de cette campagne , pour tous, retrouver confiance en l’avenir (les résultats des derniers sondages sur le sujet sont dramatiques assorti il est vrai d‘un manque total de confiance envers le politique).Or l’avenir de la France et ce malgré le rejet du traité de Constitution Européenne passe par l’Europe et l’avenir de l’Union européenne dépend en grande partie de la façon dont les Européens font et feront face aux défis de la mondialisation ; autre sujet absent de la campagne.
    Pourquoi ? Sans doute pour ne pas rajouter de la peur à la peur alors que le devoir de tout homme (ou femme) politique doit être d’expliquer les enjeux et la meilleure voie possible pour faire face et en tirer le meilleur profit comme le fit le Président Herzog (Bundespräsident), le 26 avril 1997, fustigeant « une société allemande figée », appelant « les citoyens comme les responsables politiques et économiques à oser les changements nécessaires afin de répondre aux défis de la mondialisation » et concluant : « Il faut que l’Allemagne se secoue. » Les réformes de l’agenda 2010 et le redressement économique du pays ont rendu les Allemands plus confiants dans leur capacité à gérer la mondialisation et sont aujourd’hui leaders en Europe .
    L’explication de ces peurs : peut-être dans cette tribune parue dans Le Figaro le jeudi 22 mars 2007 résumée ci-après.

    Les Français sont les seuls en Europe à avoir aussi peur de la mondialisation et ils le savent. C’est bien là le problème : « Si nos voisins ont une vision positive de la mondialisation, c’est qu’ils parviennent à en tirer profit. Pourquoi pas nous ? » À la crainte s’ajoutent un sentiment d’impuissance et le rejet d’une Union européenne dont les partenaires ne partagent pas les mêmes inquiétudes.
    Une enquête inédite (1) réalisée par des experts de huit États membres montre à quel point la perception qu’ont les Français de la mondialisation est marginale dans le tableau européen : ce sont eux qui craignent le plus son impact sur le marché de l’emploi et qui sont les plus pessimistes sur l’avenir de leur pays. Ils sont les seuls à opter majoritairement pour le protectionnisme plutôt que pour le libre-échange. Pendant ce temps-là, ailleurs en Europe, la mondialisation est à peine un sujet de débat.

    Pourquoi les Français se focalisent-ils autant sur les enjeux économiques de la mondialisation, alors que les Italiens, les Espagnols, les Britanniques sont davantage préoccupés par la question migratoire et les Estoniens et les Suédois par l’évolution de l’environnement ? Pourquoi n’y a-t-il guère qu’en France que les mouvements altermondialistes se développent ?

    Sans doute parce que la mondialisation n’est pas encore acceptée en France comme un phénomène incontournable dont il faut tirer le meilleur parti. Les Suédois en leur temps, au début des années 1990, la craignaient tout autant que nous aujourd’hui. Le déficit des finances publiques se développait. Celui du commerce extérieur également. Ils adoptaient une attitude défensive contre la mondialisation. L’opinion suédoise était aussi craintive que celle des Français aujourd’hui. De profondes réformes économiques et sociales et leur bilan positif placent actuellement les Suédois parmi les Européens les plus optimistes à l’égard de la mondialisation. À son tour, vers 1996, l’Allemagne a connu d’intenses débats sur les menaces de la mondialisation.

    Peut-on se résoudre à penser que la France serait, elle, vouée à un cycle économique différent ?

    Les succès de multiples entreprises sur le marché international et l’ouverture de l’économie française aux capitaux étrangers montrent bien que les efforts d’adaptation sont engagés. Mais les citoyens doutent, car ils perçoivent les conséquences lourdes que pourrait avoir une mondialisation qui ne bénéficierait qu’à quelques-uns, sans trouver encore chez leurs responsables politiques la capacité nécessaire d’anticipation et d’organisation de la mondialisation. Alors qu’au Royaume-Uni, en Suède ou en Allemagne le discours politique a façonné une vision de la mondialisation qui a aidé les citoyens à supporter des efforts d’adaptation, le discours de nos candidats à l’élection présidentielle fait place à une logique de protection et de replis, plutôt qu’à une prise en main volontariste par tous les acteurs économiques, sociaux et politiques.

    La campagne présidentielle propose peu des réponses à la demande de régulation qu’expriment les citoyens. Plutôt que de continuer à rejeter la mondialisation ou de vouloir la façonner à partir du modèle social français, l’enjeu est bien de tracer une voie française dans la mondialisation qui puisse s’adosser à une solidarité européenne. Nos voisins allemands parviennent, semble-t-il, à esquisser leur voie. Pourquoi pas nous ?

    L’avenir de l’Union européenne dans cinquante ans dépend de la capacité de mobilisation de chacun de ses États membres face à la mondialisation. Les autres Européens attendent ce sursaut de la France tout autant que ses propres citoyens. Arrêtons de croire à une « mondialisation plus française » pour commencer à bâtir une « France plus mondialisée » et plus sûre d’elle-même.

  4. Quel parcours!

    rempli de joies & de peines.

    la présence de l’autre doit sûrement ,les faire s’accrocher mutuellement à la vie….car vieillir demande encore de faire des efforts au quotidien.

    Félicitations à Mr & mme Gabory,pour leurs noces d’albâtre

  5. Je voudrais m’associer à Mr le Maire pour féliciter chaleureusement Mr et Mme GABORY.

  6. Merci Mr le Maire pour la visite que vous avez rendue à nos parents pour cet évènement assez inhabituel il est vrai.
    La visite conjointe, bien que visiblement non concertée, de Serge Poignant a également apporté la preuve , s’il en était besoin, de l’attention que vous portez l’un et l’autre aux circonstances qui marquent la vie de vos concitoyens.
    Nos parents et toute la famille ont particulièrement apprécié cette démarche et mon intervention est ici la marque de leurs remerciements.

  7. Je me suis longuement arrêtée sur cette magnifique photo: un moment figé, choisi pour donner à voir un amour immortel. Car c’est bien de cela dont il s’agit…. Il est possible de lire dans chacun de ces deux regards la gentillesse, l’ardeur et l’espièglerie nécessaires pour prendre les choses comme il faut. C’est beau de vivre, à quelque âge que ce soit. Dignes, sereins et forts de la présence de leurs parents, les enfants aussi rayonnent. C’est si simple d’oser le dire: la famille est le ciment de toute entreprise, de toute réussite.
    Le bonheur vaut plus que toutes les démonstrations: il fonde et atteste.
    Merci pour cette photo, la plus belle de votre blog à ce jour. Tous, nous avons besoin de ces images, de ces desseins merveilleux….
    Longue vie encore à vous Madame, à vous Monsieur.
    Je ne vous connais pas mais je souhaitais vous dire ce merci et ma grande admiration.

  8. De retour de "vacances" je prends connaissance de l’évènement qui s’est déroulé à l’occasion de l’anniversaire des 70 ans de mariage des époux Gabory.
    Je tiens à me joindre au concert des félicitations tout en témoignant du rayon de soleil qu’apportent Mr et Mme Gabory aux Clouzeaux ,mais aussi qu’ils ont apporté au Domicile Collectif de la Haye Fouassière ou encore au Pavillon Bernard Dupont au Loroux Bottereau.Au sein de cette structure ils ont marqué leur passage grace à leur jovialité , leur gentillesse ,leur humour mais,et surtout,par la grande complicité qui se dégage de leur union et il faut le dire de l’amour qu’ils se portent réciproquement.
    Un exemple pour toutes les générations que cette image du bonheur et que cela continue encore longtemps dans l’uncité familiale que fait ressortir cette photo.
    Bien vous en a pris Mrs Poignant et Dejoie d’honorer de votre présence cette tranche d’histoire de Mr et Mme Gabory

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